top of page

Merci à eux.

Ils en parlent...

image_1575958_20211105_ob_7b4b92_in-fine-la-vraie-vie-de-la-mort-steph.jpg

Le provocateur de sourire. 
juin 2014

 

Ce n’est sans doute pas dans le Provocateur de Sourires que vous vous attendiez à ce sujet, fort fâcheux a priori : la Mort. Ce personnage tant décrié trouve cependant toute sa place dans notre rubrique Art mais jusqu’aux dents par le truchement de la plume truculente de Stéphane Nohlart. Car, justement, c’est ce qu’elle montre la Mort : les dents !
 

Catule, c’est son nom, déprime et en a marre de se faire traiter de tous les noms d’oiseaux alors que Asclépios, Dieu de la médecine, occupe le devant de la scène et récolte les lauriers. La Mort, personnage tout à fait humain et sympathique, fan des Beattles, de mots croisés et adepte de Facebook, décide de faire grève ! Avec rien moins que Maître Vergès comme « Public Relation », la Mort entame une campagne de com’ planétaire pour revendiquer sa part de célébrité.
 

Crise financière, fonds de pensions en faillite, pompes funèbres qui mettent la clef sous la porte, guerres de religions, armée de papys se bagarrant pour le même banc… Voilà quelques une des conséquences de la grève de Catule.
 

Drôle, caustique, touchante et intelligente, la lecture de In Fine est un moment succulent. L’écriture de Stéphane Nolhart est tranchante comme une faux. De rires en sourires, il mène une réflexion philosophique aiguisée sur le monde d’aujourd’hui, en quête d’une vie éternelle qui ne serait sans doute pas le cadeau que l’on pourrait croire…
 

A mourir de rire !

http://dev.provocateurdesourires.com/

 


 

In-Fine-La-vraie-vie-de-la-Mort (1).jpg

Critique de Patrick Dautie sur le site rouge sang éditions. 
Mai 2014

« Les éditions Rouge Sang continuent de nous surprendre et, après quelques excellents polars, publient cette fois le petit essai de Stéphane Nolhart intitulé « In Fine ». J’utilise à dessein le vocable « essai » parce que ce texte indubitablement loufoque a une portée quasi philosophique. Mais rassurez-vous, cet ouvrage n’est pas réservé à quelques intellectuels poussiéreux. Il est question de la mort, si souvent dépeinte sous les traits et les hardes de la grande faucheuse que nous connaissons tous. Stéphane, quant à lui, choisit un autre vecteur d’anthropomorphisme en lui donnant l’aspect d’un type nommé Catule, un individu aux allures de quadragénaire à qui on prêterait

In-Fine-La-vraie-vie-de-la-Mort (1).jpg
Les chroniques de Goliath

Septembre 2011

EUn nègre est un homme invisible, juste une procuration, mais qui vit comme dix !

Habitué à rester dans l'ombre, le nègre se fait généralement discret, laissant les signataires s'exposer aux feux de la rampe. Ce n'est pas là une simple amertume, c'est un fait. Le nègre autobiographe entre dans l'intimité des autres comme on entre dans celle d'une femme en la courtisant, avec tact, diplomatie, un rien d'inquiétude et une bonne dose d'empathie… Bref, le nègre est un aventurier de l'écriture, un pro des coups du sort, un écrivain qui sourit en voyant Ses auteurs parler de leurs livres.

Stéphane Nolhart est de ces personnes.

Il nous conte dans ce livre le quotidien de son activité. L'aventure de la rédaction, de ce genre de travail, passant forcément par la proximité d'une personne jusque là inconnue ; c'est chaque fois l'existence qui se réinvente. Cependant, si la star retraitée, piquée d'écriture de mémoires est haute en couleur, l'on peut nouer quelque regrets de faire un tel métier…

Avec la bonne humeur qui le singularise, Stéphane Nolhart rédige d'une plume alerte et plaisante cette farce qu'est la vie du nègre, sa vie et, par là celle des autres… Un livre où l'on rit franchement, qui ne saura pas laisser indifférent ses lecteurs.

Dan Franck disait un jour, lorsque l'on reçoit quelqu'un pour écrire un bouquin, au début il parle de votre livre. Pendant la rédaction cela devient notre livre et, lorsqu'il est fini : l'individu parle de SON livre…
 

In-Fine-La-vraie-vie-de-la-Mort (1).jpg

L'univers de Koryfée.

Mai 2011

​​

Elle : cela fera 18€
Lui : ???
Elle : le prix du mascara !
Lui : ???
Elle : j'ai pleuré de rire à la lecture de certains passages de Blackbook
Lui : et?
Elle : et tu as de fait ruiné mon maquillage. Le mascara ruisselant dans le sillage de mes larmes, à la fin j'étais maquillée comme une voiture volée !
Lui : mais enfin, ce n'est pas de ma faute !
Elle : eh, c'est qui , qui a écrit Blackbook ? Ce n'est pas ton nom qui figure sur la page de couverture peut-être?
Lui : si, mais avec les 10% de droits d'auteurs HT, mon livre valant 14€, tu vois un peu la ruine si je dois te rembourser ton mascara !
Elle : la ruine, la ruine, estime-toi heureux que ce soit du mascara "Yves Rocher parce que je suis fauchée" et non "l'Oréal car je mange des céréales"
Lui : en même temps, te maquiller, ce n'est pas nécessaire. Quand on a bientôt 64 ans, on assume ses rides, ça sert à rien d'essayer de se ravaler la façade !
Elle : merci pour tes compliments. Je sais que tu portes des lunettes mais quand même ! Je ne vais pas avoir 64 ans en avril mais 63 ans, d'abord. Et pour les rides, j'utilise Blackbook : il déride avec son humour nègre irrésistible.
Alors ?
Lui : alors quoi ?
Elle : le mascara?
Lui : je te l'ai dit ce n'est pas de ma faute ! après tout, c'est celle de mon éditrice !
Elle : comment tu te défiles !!! Que vient faire Laura là dedans ?
Lui : de même qu'elle a mentionné que ce roman était une pure fiction, elle aurait dû mettre en page de garde : veuillez vous maquiller avec du mascara waterproof.
Elle : bon, puisque tu es de mauvaise foi, je ne te parle plus !
Lui: tant mieux, cela me fera des vacances ! tu viens de me saturer ma boîte mails !

 

11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1


 

In-Fine-La-vraie-vie-de-la-Mort (1).jpg
Danielle Akakpo blog

Septembre 2011

Un coup de blues? besoin de casser la morosité ambiante? Ne courez pas chez votre médecin. Foncez chez votre libraire eu précipitez-vous sur le Net sur le site des éditions Laura Mare et commandez Blackbook de Stéphane Nolhart.
Blackbook, le meilleur des antidépresseurs! Les effets secondaures, irrépressible hilarité et risque certain d'accoutumance, sont négligeables par rapport aux bienfaits que vous apporteront les aventures picaresques du nègre Etienne Darc,envoyé par son éditeur dans un coin perdu de montagne pour y écrire les mémoires d'une ancienne vedette de la chanson reconvertie dans la restauration. Un personnage truculent, la Vivianne, un dragon qui mène son monde à la baguette et en fera voir des vertes et des pas mûres à l'écrivain. Rien ne va comme il veut dans ce village enfoui sous la neige, même s'il trouve un peu de soutien auprès du compagnon de Vivianne, Marius-Charlemangne et d'Agnès, l'accorte serveuse.
Cerise sur le gâteau, la plume de Stéphane, trempée dans l'encre de la dérision la plus décalée, sait aussi se nourrir à celle de la sensibilité, de l'humour teinté de tendresse.
 
Blackbook ou les truibulations d'un Parisien dans un univers de fêlés: tout le monde aimera ce roman, sauf les coincés, les pisse-vinaigres, bien entendu.

bottom of page